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Hier est sorti le nouveau film d'animation de Disney en collaboration avec les studio Pixar.
Wall E (prononcez "wali") est un petit robot qui évolue seul dans ce que l'on peut imaginer être New York abandonnée au milieu de monceaux de déchets, avec pour seul compagnon un insecte. Wall E, dernier habitant de la Terre a pour
mission de nettoyer la ville avec ses semblables pour permettre le retour des humains ayant fui dans l'espace il y a de cela 700 ans face aux monceaux de déchets.
Un jour, Wall E rencontre EVE, une "robote" sexy en diable (du moins de son point de vue). EVE doit trouver des preuves de vie sur Terre. Et lorsqu'elle est ramenée dans l'espace pour terminer sa mission, Wall E n'écoute que ses circuits intégrés et la suit.
Presque pas de dialogues dans ce film. Et pourtant, il nous en dit beaucoup. Sur la société consumériste et ses conséquences désastreuses, sur les inventions qui améliorent notre confort immédiat mais se révèlent néfastes à long terme. Par exemple: les sièges flottants, équivalents de nos voitures: leur utilisation exclusive fait évoluer les caractéristiques physiques des humains jusqu'à les rendre presque incapables de marcher...il y dorment, y mangent (pensez donc aux "drive" de nos fastfoods), bref n'en sortent jamais.
J'ai apprécié la critique de cette société idiote et aveugle, même si le message est gâté par le discours dans la seconde partie du film lorsque les humains apparaissent, et avec eux pas mal de bons sentiments bien consensuels. Alors évidemment, un robot garant de la survie de l'humanité cela peut sembler bizarre après Terminator et consorts. Beaucoup y trouveront une mièvrerie très Disney. Mais j'ai marché. J'ai ri devant les aventures de ce petit robot tout seul qui s'émeut devant des passages d'Hello, Dolly! et qui fait la collection de toutes sortes de déchets de notre société consommatrice acharnée. J'ai trouvé ce film à la fois frais et engagé. Dommage qu'il soit commandé par Disney, il aurait ainsi évité certaines lourdeurs, et que l'avalanche de produits dérivés ne vienne contredire son message.
Wall E (prononcez "wali") est un petit robot qui évolue seul dans ce que l'on peut imaginer être New York abandonnée au milieu de monceaux de déchets, avec pour seul compagnon un insecte. Wall E, dernier habitant de la Terre a pour
mission de nettoyer la ville avec ses semblables pour permettre le retour des humains ayant fui dans l'espace il y a de cela 700 ans face aux monceaux de déchets.Un jour, Wall E rencontre EVE, une "robote" sexy en diable (du moins de son point de vue). EVE doit trouver des preuves de vie sur Terre. Et lorsqu'elle est ramenée dans l'espace pour terminer sa mission, Wall E n'écoute que ses circuits intégrés et la suit.
Presque pas de dialogues dans ce film. Et pourtant, il nous en dit beaucoup. Sur la société consumériste et ses conséquences désastreuses, sur les inventions qui améliorent notre confort immédiat mais se révèlent néfastes à long terme. Par exemple: les sièges flottants, équivalents de nos voitures: leur utilisation exclusive fait évoluer les caractéristiques physiques des humains jusqu'à les rendre presque incapables de marcher...il y dorment, y mangent (pensez donc aux "drive" de nos fastfoods), bref n'en sortent jamais.
J'ai apprécié la critique de cette société idiote et aveugle, même si le message est gâté par le discours dans la seconde partie du film lorsque les humains apparaissent, et avec eux pas mal de bons sentiments bien consensuels. Alors évidemment, un robot garant de la survie de l'humanité cela peut sembler bizarre après Terminator et consorts. Beaucoup y trouveront une mièvrerie très Disney. Mais j'ai marché. J'ai ri devant les aventures de ce petit robot tout seul qui s'émeut devant des passages d'Hello, Dolly! et qui fait la collection de toutes sortes de déchets de notre société consommatrice acharnée. J'ai trouvé ce film à la fois frais et engagé. Dommage qu'il soit commandé par Disney, il aurait ainsi évité certaines lourdeurs, et que l'avalanche de produits dérivés ne vienne contredire son message.