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Aha! Le retour de nos chères désespérées! Ces deux premiers épisodes de la saison 2 ne dépareillent pas de la saison précédente. Zach, après avoir tenté de tuer Mike, s'enfuit. Bree doit faire face au décès de son mari, mais aussi à l'arrivée de sa belle-mère, et le moins que l'on puisse dire c'est qu'elles ne sont pas les meilleures amies du monde. Gabrielle subit la vengeance de son mari par interdicts bancaires interposés. Enfin, Lynette reprend du service, et c'est son mari qui doit devenir une "housewife".
Comme d'habitude, chacune fait face à sa manière. Lynette avec beaucoup de sournoiserie et de ruse, Bree avec son calme olympien qui en surprend plus d'un, comme lors de la scène du restaurant. Gabrielle recourt "as usual" au chantage, et s'en sort plutôt bien quand on considère sa situation de départ: Carlos est désormais au courant de sa petite "sexcapade"avec le jardinier. Susan est toujours aussi hystérique, notamment quand elle apprend la filiation de Zach. C'est elle que j'aime le moins je crois, même si elle est très rigolotte, je n'apprécie pas le genre de femme qu'elle représente.
Dans ces deux nouveaux épisodes, on retrouve les subtilités de la vie de couple, de la vie de famille. Comme le dit si bien Mary-Alice, il s'agit de pouvoir. Comment l'obtenir, comment l'utiliser. Derrière les situation parfois drolesques, des questions cruciales sont évoquées, à l'instar de la décision concernant l'oraison funèbre de Rex. Bree et Phyllis (la mère du défunt) se disputent, et pas toujours à fleurets mouchetés, sur son contenu.
Enfin, les nouveaux venus. La famille noire qui vient d'emménager a, comme qui dirait, un squelette dans le placard, ou du moins une personne bien vivante attachée à la cave. Qui est-ce? Nous le saurons bientôt!