Des fins qui dépriment, qui réjouissent, qui bouleversent, qui énervent... autant de fins que de romans lus... et ça en fait!
Tagguée par Livvy voici mes réponses:
Evidemment un billet-tag rempli de spoils… j’annonce le titre du roman toujours en premier, si vous ne voulez pas savoir la suite, passez à la question suivante !
Préférez-vous un roman qui se termine mal ou en douceur ?
Peut-importe, du moment que c'est bien fait. Et puis il y a des logiques à respecter: dans de la bonne chick-litt/bitt-lit: soit il y a un cliffhanger du feu de dieu, soit c'est la fin, et c'est forcément avec le super héros over-sexy. Il y a des choses qui ne se négocient pas! Le tragique, la noirceur ne me posent aucun problème. Si il n'y avait que des Happy End, ce serait vraiment ennuyeux, non?
Préférez-vous une fin ouverte ou fermée ?
Les deux mon capitaine. Même si j’aime souvent « savoir » et être sûre, j’aime aussi que l’on me laisse l’espace pour me faire « mon film ».
Dans The crimson petal and the white, par exemple, on ne sait pas vraiment ce qui arrive à l’héroïne à la fin… et j’aime beaucoup cette idée de fin complètement ouverte, ce flou.
Quels sont les romans dont la fin vous a surpris(e) ?
La fin de Pierre et Jean de Maupassant. Jamais je n’aurais cru que le fils qui avait découvert le pot aux roses et qui était qui plus est lésé dans l’histoire, soit celui qui doive partir, s’exiler, pendant que les autres sont comme des coqs en pâte.
Quels sont les romans dont la fin vous a bouleversé(e) ?
The time traveler’s wife, même si on sait dès le début que ça finira ainsi… que de mouchoirs sacrifiés lors de cette lecture !
Dans un style très différent, Un siècle de novembre de Wetherell, où tous ces gens font un pèlerinage vers les champs de bataille de la Première guerre mondiale, pour tenter de trouver si ce n’est une tombe, du moins le lieu du décès d’un fils, un frère, un mari.
Quels sont les romans dont vous changeriez la fin ?
Celle d’Elle s’appelait Sarah de T. de Rosnay… le prénom de l’enfant de Julia ? mon dieu… épargnez-nous les clichés. Remarquez, on aurait pu retirer toute la partie sur Julia dans ce bouquin….
La fin du Cœur cousu de Carole Martinez, qui m’a semblée un tantinet « too much », mais le roman reste un magnifique moment de lecture.
Le magasin des suicides, dont la fin est bâclée par rapport au début tout à fait réussi et délirant.