
Récemment, une blogueuse (qui se dénoncera si elle passe par là, car je ne me souviens plus qui exactement) parlait de la limite fatidique (fatale?) des 50 pages ou des 100 pages. Pour ma part, je suis allée un peu plus loin. Mais il faut bien le dire: lorsque je terminai cette première partie du roman de Margaret Drabble, je n'avais absolument aucune envie d'en savoir. Je ne peux pas dire m'être beaucoup ennuyée, car j'ai appris nombre de détails intéressants sur la Corée, ses traditions etc, mais j'ai plus eu l'impression de lire un livre d'histoire qu'autre chose. Aucune intrigue ne se dégage, pas vraiment de suspense. Je n'ai pas été attendrie ou même intéressée outre mesure par ce personnage, donc, non, vraiment, je ne voyais pas l'utilité de continuer ma lecture.
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